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Monochrome World - Madeline Shimy

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Mar 23 Aoû - 21:45

Shimy Madeline


Nom : Shimy
Prénom(s) : Madeline
Âge :  25 ans
lieu de naissance : Bonne question...
Sexualité : Hétéroromantique
Statut/métier : Apothicaire/Alchimiste avec des notions de soins
Famille : Je me définie comme une famille d'une personne, bien qu'il y a mon père...
Race : Sirène
Groupe : Alfheim
Pouvoir primaire : L’œil du Menteur. Elle peut prendre l'apparence de ce qu'elle désir à vos yeux, elle peut être un proche, un être aimé, un animal, une personne totalement différente. Elle reçoit en tête l'image de ce qu'elle ressemble, histoire de ne pas fail la tromperie
Pouvoir secondaire : Le chant des sirènes, chanter un air joyeux vous apporte joie, un triste vous réveil de la nostalgie, un moment dur, bref elle réveille vos émotions les plus pure, ce que vous avez ressentie, elle ne les crée pas, elle vous les réveille.
Malus : L’œil du menteur lui offre déjà une vu du monde en noir et blanc H24. Elle ne voit aucune couleur, mais comme ça elle peut l'usé comme elle veut. Trop utilisé lui donne très mal à la tête, de plus cela lui réveil des écailles de poisson sur les joues, car cela procure un dysfonctionnement en plus du chant. Bref, les pouvoirs qu'elle possède sont à utiliser avec précaution.
Catalyseur :Un Rubis incrusté au niveau du thorax en haut des seins, donc on évite les décolté.
Familier : Un panda roux trop enfantin qui adore les papouilles et les câlins surnommé Pompom



CARACTÈRE

In the span of time we live out our lives


Comme l’eau qui dort, Madeline est une personne qui ne montre pas grand chose sur son visage. Ce n’est pas une personne qui veut du bien ou du mal, c’est juste une personne qui vit sa vie comme elle le peut.  Ne cherchant ni conflit, ni réel but dans cette vie si calme. Elle est comme ça Madeline, elle est très simpliste et ne veut jamais se compliquer la vie.

Vivant au jour le jour, elle passe le plus clair de son temps dans son travail, ne pensant jamais à faire des pauses pour se détendre. C’est une personne sérieuse qui n’aime pas du tout faire autre chose que ne rien faire. Elle ne demande jamais d’aide, voulant tout faire toujours tout seule. Débrouillarde c’est sûre, très solitaire aussi, c’est une personne qui ne parle pas vraiment, écoutant le plus souvent ce que dise les gens, hochant la tête pour donner un possible avis. C’est sûr que ce n’est pas une personne très neutre. Elle ne cherche jamais vraiment à s’imposer, c’est une personne qui dit clairement si cela lui plaît ou non. Elle n’aime pas se prélasser dans un mensonge ou se compliquer la vie.

Le mot d’ordre de sa vie c’est clairement la simplicité.

Madeline accepte souvent ce que la vie lui fait, si c’est des bâtons dans les roues, alors elle fera avec. Elle ne mord presque jamais, c’est souvent ses vents terriblement froid qui vous font mal. En vrai, Madeline est une personne plutôt renfermé et timide, elle ne cherche pas du tout à faire mal, elle ne sait juste pas parler avec le monde qui l’entoure. Curieuse, elle aime sortir pour découvrir des plantes, malgré son handicap, la femme fait tout pour le combler, voir le monde dans des couleurs monochromes n’est pas pratique, bien que certaine couleur ont différente teinte de gris, il faut bien faire avec. Le bleu c’est un gris un peu plus foncé, le rouge légèrement plus blanc, le rose blanc grisâtre… Pour vous c’est peut être pareil, mais la femme fait attention aux nuance. La femme aime la nature, les bruits de la nature l’apaise tout comme le bruit de l’eau. C’est une personne respectueuse de la nature et de ce qu’elle donne, elle fait toujours attention.

Madeline aime la danse et l’art floral, c’est une chose qui l’a toujours attiré, faire des bouquets rond, décorer les cheveux de sa petite protégé qui vient la voir chez elle, faire des couronnes avec un petit sourire nostalgique. Elle aime aussi la danse, bien qu’elle ne danse jamais, c’est une femme qui regarde de loin avec envie, mais retourne travailler. Toujours le nez dans les bouquins, c’est comme une obligation, bien qu’elle adore lire en vrai, tout comme écrire de nouvelles potions et faire des expériences, cela l’amuse un peu oui. C’est une personne qui aime faire de la découverte, et qui n’aime pas perdre son temps. Bien que son sourire est très rare, c’est une personne souvent franche, qui ne cache pas vraiment ce qu’elle a dire.

Bien que l’eau qui dort est souvent plus dangereuse, elle sait parfaitement se battre en cas de danger, maîtrisant l’art des deux lames et garde en souplesse en s'exerçant en forêt pour garder cette agilité qui l’aide beaucoup. Tuer n’est pas du tout son dada, elle veut toujours éviter cela, mais s’il le faut, elle n’aura aucune pitié. C’est ainsi qu’il faut faire sa vie, ne rien demandé et si on prend trop, il faut savoir défendre son pain; c’est la vrai vie ici.



PHYSIQUE

As for me, I'll sing the song of now


On lui dit souvent que c’est une femme agréable à regarder, il est vrai que les sirènes sont connu pour leur beauté, bien que toi tu ne vois que toi devant le miroir. Peut être que comme tu ne connais pas trop le goût du monde, tu ne sais pas vraiment si tu es si jolie que cela, pour toi la plus belle femme, c’était ta mère, mais ton père le répète souvent, vous vous ressemblez tellement…

Tu es une personne plutôt moyenne en taille, faisant un bon mètre soixante cinq, tu ne paie pas de mine avec ta taille qui te suffit pour te faufiler dans les recoins de la forêt. Tu as une peau plutôt de porcelaine, elle est blanche assez rosée, comme pour dire que tu vas bien, que tu n’es pas malade. Madeline n’a pas de grande marque sur le corps, sauf peut être des petites griffures habituelles sur les mains, mais cela est normal pour son travail. Il n’y a aucune imperfection sur son corp. Bien proportionner aussi, notre femme possède de belle hanche bien taillé, ne faisant pas une forme très plate et droite, cela apporte un peu de forme, tout comme ta poitrine, pas trop grosse pour gêner et pas trop petite pour ne pas dire que tu es plates, tout est parfaitement proportionné pour apporter un physique de type Sablier, des hanches assez attrayante et une poitrine pratique. Comme quoi, la nature est bien faite.

Ton visage possède des traits bien féminin, avec des lèvres fines peu pulpeuse et provocante, bien qu’il affiche rarement ce sourire si rare. Des joues bien ronde, qui donne juste envie de les tirer parfois, ce qui te dérange pas mal, elles sont souvent rougit de gêne. Des yeux bleu qui semble être une eau qui n’a jamais était souillé, on s’y noie presque quand on te regarde. Ce visage est ornée de méches blonde, c’est ce qu’on t’a dit comme pour tes yeux, tu as de magnifique cheveux blond que tu attaches souvent en couette, bien qu’ils sont tout de même pas mal fins, ce qui ne dérange pas pour les avoirs assez long, se stoppant au niveau des genoux, tu en prends souvent soins, bien que ce n’est pas évident parfois, souvent le plus long c’est de les brosser.

Aussi, quand l’eau te touche la peau, tu reprends immédiatement ta forme sirène, tu ne contrôle pas encore totalement cette transformation. Tu possède des écailles rose bonbon, c’est ce qu’on t’a dit, le bout de la nageoire est plus clair, on dit que quand tu l’écartes cela fait un jolie arc en ciel à la lumière du soleil. tu l’orne souvent d’un paréo court avec des perles sur le haut pour faire un peu habillé. Et la légende que comme quoi les sirènes ont toute un haut coquillage est totalement faux, des écailles recouvre ta poitrine, bien que cela fait tout de même un peu nu, alors tu mets tout de même un haut, car c’est terriblement gênant. Tes bronchite apparaisse sous ton coup pour t’aider à survivre dans l’eau, tout comme des nageoires au niveau de tes oreilles, pour bien te guider et ne pas perdre le nord dans l’eau.

En parlant aussi de vêtement, qu’est-ce que tu portes? Un peu de tout en vrai, les couleurs? Tu t’en fiches un peu car tu ne les voit pas du tout. Tu porte souvent des robes avec des collant pas mal opaque et des bottes, bien que parfois c’est le short avec un haut à manche volante. Bref, tu varies souvent, mais cela reste assez féminin, les teintes réel sont souvent mauve ou rose, très rarement tu porte du noir, car tu as du mal à le voir dans la pénombre de ta cave. Tu portes parfois des talons pour te faire plaisir. Les accessoires? Souvent des serre-tête pour tes cheveux, ou des élastique et ruban coloré, bien que tu fais parfois les couettes avec juste tes propres cheveux, système D vous voyez. Elle porte souvent des gants aussi, pour son travaille, c’est beaucoup plus pratique en vrai. Sinon très peu de bijoux pour sa part, cela la gêne pas mal. Elle adore les capes par contre, les capelines à capuche aussi, elle en met tout le temps pour se protéger un peu du soleil, car étant un être de l’eau, la chaleur elle a un peu de mal et les rayons du soleil lui apporte de rapide coup de soleil.

Autre chose? Sa voix est très douce, elle est très agréable, il est normal pour une sirène qui a le pouvoir du chant. Avoir une voix qu'on aime entendre, bien qu'elle soit peu utilisée par cette personne, peut être qu'elle a peur d'être aimé? Pourtant, elle aime chanter en vrai.

Voilà ce qu’elle est Madeline, une personne qui prend un peu soin d’elle, mais pas trop.



HISTOIRE

In the end, we're left with memories kept


De loin que tu te souviennes, tu as toujours été seule devant une porte bien trop grande devant toi.  Elle te faisait peur cette porte, car tu ne savais pas du tout ce qu’il se trouvait derrière. Tu avais peur qu’une personne l’ouvre, tu avais juste peur de ce que pouvait bien cacher cette porte.  Alors tu attendais dans un coin, avec juste la peur de voir celle-ci s’ouvrir.

Bien sûr, cette porte tu ne l’as vois que dans tes souvenirs, des pleures devant celle-ci avec l’odeur lourde du fer et un visage brouillé par du noir. On t’a saisis la main et on t’a fait quitter ce lieu que tu te souviens peu en ce moment même. Tout ce que tu sais, c’est que ce lieu était le plus rassurant au monde, mais tu n’as pas eu le droit d’en profiter. Tu entendais des murmures, tu ne comprenais pas ses murmures. On t’a jeté dans une sorte de grosse marmite remplie d’eau et on t’a enfermé dedans. Tu a tapé contre les parois, mais tes faibles poings n’avait aucune force. Alors tu as attendu en boule dans ce fond de bocal aux parois teintées.

Quand tu as revue cette douce lumière te brûler la peau, tu vois le regard de cette femme bien étrange et beaucoup trop laide pour plaire en vrai. Elle tapait dans ses mains toute contentes : Une sirène de lumière, une sirène de lumière ! J’aime ses couleurs si vivent et si coloré ! C’est ce qu’elle a dit en te regardant comme un poisson sur une étalage. Pourtant, tu n’as pas eu le choix que de finir dans un bocal, dans un monde beaucoup trop sombre. Tu ne bougeais pas beaucoup, tu ne mangeais pas beaucoup, tu regardais les monde peu coloré de tes yeux innocents qui se salissent de plus en plus. Bien que plus les heures passait, peut être des jours ? Tu ne sais pas du tout. Tes écailles commencent à perdre de plus en plus de leur couleur, ils ont changé l’eau. Tu as faillis mourir, on t’a sortie de l’eau rapidement, cette eau était du poison pour toi. Bien qu’il n’y avait pas que cette eau qui ta faisait mal, tu te sentais de plus en plus mal, tu n’avais même plus la force de faire un mouvement.

Peut être que la mort t’aurais libéré au moins.  Pourtant, ils t’ont vite ramené à la frontière dans un lac d’eau pure, proche de la lumière si belle et blanche, tu te sentais revivre. Bien que tu ne voulais pas retourner dans cet endroit sombre et lugubre. On va dire que tu as eu le destin avec toi heureusement. Ils t’ont jeté dans cette eau si belle et si claire, tu te sentais revivre, bien que tu n’arrivais pas à fuir, ils te surveillaient avec attention. Dés que tu allais trop loin, il menaçait de te reprendre pour te ramener, tu ne voulais absolument pas retourner là-bas. Tu ne voulais pas finir comme ta mère, bien qu’en repensant à elle, tu te souviens qu’elle t’interdisait formellement d’utiliser ce quelque chose… Bien qu’il n’y a plus maman maintenant, alors tu fixas la personne la plus proche de toi pour le regarder dans ses yeux, bien que tu avais juste peur d’échouer, pour lui tu étais devenue un simple poisson banal, tu es devenu autre chose que toi-même, pour t’enfuir loin de lui en plongeant le plus profondément et tentant de fuir. Tu tentais comme tu pouvais de garder ton pouvoir actif le plus longtemps possible juste pour survivre, pour espérer une possible liberté. S’il te regarde, ils ne verront qu’un poisson.

Tu faisais tout ce que tu pouvais, malgré la douleur, tu allais le plus vite que tu pouvais loin d’eux. Tu tremblais, ton cœur battait très vite, tu ne croyais pas du tout réussir, mais quand tu as jugé peut être bon de sortir de l’eau, tu as sortit la tête tout doucement pour remarquer qu’il n’y a personne de suspect. Sortant de la solution aqueuse, tu retrouves tes jambes enfin, elles étaient toute engourdie, depuis le temps que tu ne les as pas utilisé. Tu étais « libre », mais tu étais seule. Madeline c’est relevé de sa petite taille en regardant ce vaste monde qui l’entoure, une enfant ne peut survivre d’eau seulement, déjà que ton ventre grogne et que tu as mal partout. Pourtant, tu as entendu un bruit suspect de claquement, une sorte d’applaudissement comme à la fin d’un Show. La blonde c’est tourné rapidement. Une personne assez tiré par le temps t’applaudit comme une artiste, que tu n’es pas pourtant. Tu as eu peur, alors la seule solution que tu as trouvé, c’est de vite retourner dans l’eau, mais tu étais en même temps très épuisé, tu te sentais de plus en plus faible, tu ne savais pas vraiment ce que tu allais faire, mais ta faiblesse ta fait t’évanouir lourdement sur le sol.

Quand tu as rouverts les yeux, tu as vu un plafond et tu as sentis ton corps couvert d’une longue douceur, qui est un drap. Tes pupilles azur se sont balancé dans tous les sens pour savoir où tu es, mais la réponse n’est venu qu’après avoir fait un bruit et ramener l’homme trop vieux pour être une personne que tu connais. Tu as peur de lui, tu as peur de tout le monde en vrai, est-ce que lui aussi, il va t’enfermer dans une sorte de bocal ? Il t’en as assuré que non, qu’il t’a vu t’enfuir de ces malins, que tu t’es bien joué d’eux, que c’est pour cela qu’il t’a applaudit… C’est bien une étrange personne pour toi. Pourtant cette étrange personne comme tu l’as souligné, ne te voulais pas de mal, enfin, c’est ce qu’il paraissait te faire comprendre. De la nourriture, un toit, un monde encore une fois que tu ne connaissais pas du tout. Tu te sens pas non plus en grande forme, mais assez pour vivre ici dans ce pays. Un monde d’humain ? Le milieu ?  C’est quoi ce genre d’endroit ? Bien que ce monde était bien grisâtre, contrairement aux deux autres, trop blanc ou trop noir, il est sûr que celui-ci c’est bien le milieu.

On t’apprend le monde, que le mondes n’est pas blanc, mais n’est pas totalement noir. Que le monde est immonde et injuste. Que ta région qui est si belle et tellement fragile. Qu’il faut se méfier des apparences. Tu regardes cette vie de ce visage si impassible, ce sourire plein de candeur n’est pas du tout présent sur tes lèvres, tu te méfies de tout le monde et surtout des gens. La vieille personne du nom de Caleste, te souris avec un certain amusement, il est vrai que voir une enfant pareil que toi est amusant. Tu ne savais rien de lui en vrai, ce qu’il est, pourquoi tout cela. Tout ce que tu sais, c’est qu’il semble vraiment calé sur tout ce qui parle du monde et de ses mystères. Cette personne t’a fait comprendre que la meilleure défense, c’est l’attaque. Toi l’être pacifiste qu’on t’a souvent dit que tu es, doit maintenant se saisir d’arme ? C’est bien une première fois, tu ne l’as pas vraiment cru, on t’a souvent dit que se battre c’est mal, et maintenant on te dit que c’est génial ? Tu ne sais plus du tout quoi penser.

Mais avant un entrainement que tu ne voulais pas vraiment, c’est ton pouvoir qu’il fallait contrôler, car dormir plusieurs jours d'affilés, ce n’est pas du tout bon pour toi. Un Saphir dans le corps, te voilà maintenant avec ton catalyseur dans ton petit corps si fragile, ce n’est certes pas du tout agréable de te dire qu’on t’a fait intégrer une chose pas du tout naturelle, mais en même temps, c’est pour ton bien, c’est ce qu’il faut te dire. Tu t’es saisis de lame très tranchante pour toi, on t’a enseigné les danses avec elle, mais tu étais trop maladroite, Caleste désespérait. Ton côté pacifiste se faisait trop ressentir dans tes pas. Tu ne dansais pas, tu faisais juste des mouvements, flou et inutile.

« Je ne suis pas un oiseau » c’est ce que tu as dis quand il te parle de sauter de toit en toit et de courir partout, tu es un poisson, c’est ce que tu répètes, tu es fais pour l’eau pas l’air. Alors il t’a juste dit « surprend les, ai un coup d’avance sur eux. » Tu n’as pas vraiment compris le sens, mais tu as continué d’apprendre à danser avec ses lames, tout en essayant de contrôler ton pouvoir, un animal, un enfant, ce que tu voulais aux yeux de la personne. Bien que c’était souvent des coups de bâton que tu te prenais, car tu es faibles.

Tu ne sais pas combien de temps tu as fait pour ne serait-ce réussir cela, tu arrivais à faire de cette danse une chose élégante, une forme si belle que cela devient naturel chez toi. Tu sais manier les armes, tu sais manier tes pas sur terre comme dans l’eau, tes yeux qui voit un monde monochrome trompe ce monde, tu es maintenant prête à affronter le monde et sa population. Pourtant, malgré que tu pensais cela acquit, tu devais passer des sortes de test. Tu as déglutiné en entendant la demande, pour être libre, il faut passer plusieurs étapes : Le passé, le présent, le futur.

Le passé consistait à effacer l’élément perturbateur qui t’a fait devenir comme ça, comme un rituel de passage. Bien que tu commences à prendre des formes, que tu commences à devenir ce qu’on appel une femme, tu dois accomplir cette mission. Tu enfilas de quoi cacher cette peau si blanche, cette chevelure si pure et dorée. Tu lèves le menton sûre de toi et pars immédiatement dans les terres sombre et maudite du crépuscule, tu te sens déjà un peu affecté par le manque de lumière. Mais, pour enterrer ces moments passés dans ce bocal, tu dois détruire cette image. Tu cours de toit en toit, tu parcoures, tu escalades, tu te souviens de ce bâtiment, il est ancré dans ta mémoire comme une maladie incurable. Te mordant un peu la lèvre, tu avances doucement, tes pas sont sûrs, mais ta tête pense trop. Regardant cette lame dans ta manche, tu respires doucement pour disparaître dans la pénombre, tes yeux bougent rapidement dans tous les sens, pour capter au cas où le regard des gens, tu es un chat. Un chat errant dans les rues si on croise ton regard. Ta main tremble, tu entends du mouvement à l’intérieur, tu entends cette voix ignoble qui te terrifie. Tu hésites, l’hésitation c’est la mort, tu entends la porte s’ouvrir, tu ouvres grand les yeux apeuré. Vos regards se croisent d’un coup. « C’est un chat. » Ta mâchoire claque de plus en plus, tu vois le gris de sa peau, ce noir autour des yeux… Quand tu souffrais elle riait, quand tu pleurais, elle jubilait… Tu la hais plus que tout.

Alors, tu as fais ce pas de danse, d’un coup net et précis, ta lame glissa sous sa gorge, tu continues ton chemin comme un chat, tu vas plus loin. Bien qu’une odeur de fer te pique le nez, quand tu t’es tournés vers elle, tu vis une mare noire, elle convulse, elle appelait à l’aide, mais personne vint, les rôles sont cette fois inversé. Tu regardes de haut, puis quand elle ne bouge plus tu approches doucement pour regarder, elle est désormais morte. Tu regardes de haut en bas, comme pour t’assurer de ne t’être pas rater. Bien que tu vis alors un mouvement dans un coin de la pièce qui t’a fait prendre une position de défense. T’approchant doucement les deux lames en mains, tu regardes un peu partout dans cette pièce que tu connais bien. Jusqu'à comprendre clairement d’où cela vient, d’un coup la peur t’a quitté pour courir vers cette paroi transparente. Tu vois cette détresse dans cette forme prisonnière de l’autre côté, sans trop réfléchir, tu frappes contre ce mur de verre, jusqu'à la briser avec ce que tu as trouvé sous la main. Tu as vites reculé pour ne pas te faire toucher pas la solution aqueuse, histoire que tu n’as pas tes écailles qui apparaissent. Tu vois alors cette petite chose fragile, qui peine à lever la tête pour juste regarder, qui n’a même pas la force de ramper. Par réflexe, tu l’as couverte avec ta cape pour la soulever, révélant tes cheveux blonds ainsi que ta peau et tes yeux bleu trop pure pour cet endroit. Tu l’as soulevé et tu es partie en courant en l’emportant avec toi, tu sais O combien c’est douloureux, tu connais cette sensation de délaissement.

Le temps était clairement compté, tu avais beau donné un peu de ton eau, elle était tellement affaiblis, ta voix n’était pas forte, mais le temps d’arriver était beaucoup plus long, Caleste t’a guidé vers cette eau si belle où tu l’as rencontré. La posant délicatement dans l’eau, tu l'as libère de ton emprise, tu l’as renvoie bouger un peu, comme toi avant. Tu place tes jambes dans cette eau pour faire apparaître ta forme, regardant celle-ci bouger doucement, tu places tes mains sur ton rubis incrusté comme pour le serrer.  D’une douce voix, tu chantas :

Sur la route, lentement, je poursuis ce long chemin pas à pas.
Il y a, je le sens, une raison de garder foi.
Dans la brume du vent, je suis comme un voyageur.
Et mes yeux, ils se noient.
Vers le nord, dans les cieux.
Toutes ces émotions, qui allaient s’évanouir.
Soudain, revivent. Là, au fond de mon coeur.
Doucement, ils brillent

( https://www.youtube.com/watch?v=g-Gt2HLotgE )

Cette chanson que tu te souviens parfaitement les paroles chanté par ta mère. Une chanson qui rassure les coeurs, adoucit les moeurs et la tristesse, procurant un sentiment de douceur et d’espoir. La petite approcha pour s'entendre sur ta partie de sirène, se laissant porter par tes paroles, se reposant apaisé. Tout comme Caleste, les chants des sirènes avait le don d’être très communicatif avec tout le monde, même entre elle.

Après ce doux moment, il fallait passé au présent. Le présent prépare le futur s’il n’est pas cloué par le passé. Le passé est maintenant libéré de cette chaîne immonde. Le présent, il faut le travailler, tu vois des tonnes de livres, des tonnes de fioles, tu voulais être comme ta mère, cette femme qui prépare beaucoup trop de remède, qui oubliait parfois de dormir pour soigner le peuple de la lumière. Bien que ce n’était pas une mince à faire, entre devoir reconnaître les plantes, savoir les dosages. Tu prends tes propres note, tu gribouillais des schémas totalement illisible que seul toi comprend. Selena, c’est son prénom à la petite sirène, ne voulait pas encore rentré dans votre région, pour le simple fait de vouloir rester avec toi, que vous rentriez ensemble. De plus, il fallait chercher ses parents, s’il ne sont pas mort, mais d'après ses dires, elle était seul quand elle s'est fait avoir.  Tu prépares des cocotions plus douteuse les une que les autres, tu pars en voyage pour cueillir ce qu’il te faut, ton apprentissage dans l’art du combat t’a permit de gagner en agilité, monter dans un arbre c’est facile et faire des positions tout aussi étrange pour couper la plante sur une montagne, il est vrai que cette vie est clairement pleine de risque.

Le présent est maintenant acquis, alors il est temps de t’occuper de ton futur. Retourner chez toi, bien qu’il y a une dernière étape. Alors que Selena est entrain de dormir quand tu te dirige dehors dans le jardin, tu croise le regard de Caleste. Tu tends la fiole de ce que tu as préparé dans la matiné. Il te parle un peu de tout ce que vous avez vécue, parlant de tout et rien, enfin surtout lui, comme tu parles peu.

Tout ce que je t’ai appris, ne l'utilise que si c’est ton dernier recours. Ne fait pas de ta personne, ce que j’étais avant. Ne devient pas ce que je veux pas que tu deviennes. Je m’excuse de t’avoir utilisé, je voulais partir en ayant fait au moins une bonne action dans ma vie, me voilà maintenant rassuré.

Il bu alors ce qu’il t’a demandé de préparer. Tu as fait de gros yeux, voulant l’arrêter, mais c’était son choix, il t’a demandé un poison assez puissant, toi même n’a pas cherché à comprendre pourquoi. Tu l’as vu l’ingérer avec une tel facilité, il savait ce qu’il faisait. Il a jeté la potion et il t’a juste dit au revoir, comme un ange gardien qui a terminé sa mission, il est partie. Une larme orpheline a glissé sur ta joue, il était trop vieux, il était trop étrange, il était trop mystérieux en vrai, tu ne savais de lui que son prénom en vrai, malgré les années de vie communes. Serrant un peu le poing, tu es retourné dans votre habitation terminer les valises.

Vous êtes partie, toi et Selena sans vous retourner, cette maison pleine de souvenir plus unique les un que les autres et maintenant laissé derrière vous. Vous avez tout chargé dans un transport et vous êtes partie pour votre région, tout aussi, la ville de Phantasia vous attendent, ville de pêcheur et de fermes, cette ville est la vôtre, bien que ta maison était beaucoup plus loin, pour avoir la paix et la tranquillité de travailler. Mais d’abord, tu devais déposer Selena ici. Quand vous êtes arrivé, elle t’a fait suivre des chemins parmis les ponts de pierre, les fermes, les pêcheurs qui vous saluent, un monde rempli de sourire et de bonheur. C’est alors qu’elle a couru vers un couple de pêcheur qui était entrain d'amarrer un bateau. Les larmes de joies et de réconfort de la mère et les larmes du père aussi rapporte ce qu’il t’avait manqué, un souffle bien chaud d’émotion qui ravit le coeur. La mère t’a vu, elle s'est dirigée vers toi pour te serrer, te remerciant un nombre incalculable de fois “comment vous remercier.” Tu as juste levé la main, assurant que ce n’était pas obligé.

A la fin, tu as finis avec un repas à emporter fait par le père, sa spécialité, son meilleur plat de son petit commerce. Tu as quitté la ville des eaux pour aller un peu plus loin, dans cette maison qui a prit un peu trop la mousse, les champs ont pris tout aussi pour leur grade. Tout semble abandonné, bien que pourtant la ville a dû protéger cette endroit, tu te souviens des nombreux client, tout aussi varié que d’autre, vous étiez connu… Tu pousses la porte avec la crainte de voir ce que tu redoutais le plus, pourtant il n’y a rien. Juste une trace qui te fait frissonner, c’est ici que ta mère est décédé pour toi. Posant la main sur le sol, tu ressens toutes les émotions de tristesse, tu ne dois pas pleurer. Il y a trop longtemps que tu as disparu de cet endroit. Te relevant doucement, tu regardes autour de toi, tout a été saccagé par le temps et sûrement l’homme. Tu vas à l’arrière boutique, tout aussi à était ravagé par le temps, bien que tu avais plus peur pour quelques chose, tu fouilles un peu partout avant de trouver cette clef caché pour ouvrir une trappe caché, l'échelle n’a pas était bien protégé du temps, mais tu l’as descend doucement pour arriver dans un lieu qui avant pour toi était interdit petite. Tu allumes une lumière pour enfin voir ce lieu que tu ne connais pas vraiment. Tu remarques alors le bureau d’herboriste de ta mère, avec tout le matériel nécessaire, des livres gribouiller de la même façon que toi. Des plantation de plante nocturne un peu plus loin, c’est une caverne souterraine où c’est construit votre maison, ta mère ou ta grand mère doit l’avoir construit exprès dessus. Il y a un lac souterrain qui apporte l’eau pure que tu as besoin pour les cococtions, ainsi qu’un moyen de t’hydrater. Tu entends une clochette sonner, vu tout le système, c’est sûrement pour prévenir que quelqu’un vient de franchir la porte. Tu avances doucement pour remonter et recacher la trappe, saisissant une dague, croyant au voleur ou autre criminel. D’un mouvement net tu places cette lame sur un point vital de l’homme qui est entrain, bien que c’était juste pour faire peur en vrai, mais vos regard bleuté se sont tous les deux croisés. Un homme aux yeux jaune et des cheveux bleu cyan, assez jeune d’apparence de base, mais tes souvenirs embrumé font t’injectes comme une dose électrique,

Cette porte où tu pleurais devant, où tu avais peur de l’ouvrir, c’était la porte de la chambre, tu avais peur de rentrer dedans, tu avais peur de déranger souvent, tu avais peur de l’ouvrir et de ne voir personne aussi, car tu étais souvent seul à la maison. Mais, tu n’as jamais était vraiment seul. Vous vous êtes fixé en silence, bien que sur le coup, vous ne saviez clairement pas quoi faire, bien que c’est l’homme qui prend la parole, heureusement en soit.

Madeline? C’est bien toi? Enfin, peut être que j’ai abusé sur l’alcool, non ce n’est pas possible. C’est toi mon petit corail?!

Ta lame tremble, tu recules doucement, bien que tu la serre de colère. Oui, ce sentiment impur qui t’énerves plus que tout. Bien que cet homme semble clairement être en âge physique pour être ton frère, il est tout autre. C’est ton père, Kendal, l’absent qui est toujours à la pêche. Tu te mordis la lèvre en hochant un peu la tête, bien que tu esquiva son élan d’amour, tu lui jettes tout ce que tu avais sous la main. Tu lui en veux tellement de ne pas avoir était là quand vous vous êtes fait attaquer, il doit bien le savoir. Après la colère un peu apaisé, il te guida vers la tombe de ta mère, il a dû l’enterrer, vu toute les fleurs, il n’y a pas que lui qui la fleurit souvent. Elle était belle ta mère, il te le dit que tu lui ressemble beaucoup, cela te fait encore plus mal. Après avoir prié pour elle et être un peu confesser sur ce qu’il t’es arrivé, tu as décidé de reprendre l’entreprise de ta mère. Bien que déjà, il fallait tout reconstruire, bien sûr ton père trop heureux de t’avoir retrouvé à tout fait pour refaire cette maison. Tout vérifier, replanter, étiqueter, tout refaire, puis refaire cette maison à ton goût, ton père vit dans la ville, donc il doit faire le chemin, mais il refait la pub…

Pendant les travaux, alors que c’était déjà bien avancé, alors que tu palais affaire avec le souffleur de verre pour faire des fioles de différente taille, expliquant les formes par dessins, tu remets ensuite ta capuche pour aller à ta maison, il neige de plus en plus, il te tarde d’aller en sécurité dans ta maison et au chaud surtout, le cheval tirant la cargaison de bois pour l’hiver et quelques courses. Un puissant cheval de la race des Shire, tout blanc comme la neige qui l'entoure en ce moment même, un cadeau de ton père pour ton travaille, il est puissant pour tirer la charrette et rapide, vous affrontez la neige qui tombe en ce moment même, c’est léger mais déjà un peu gênant. Quand vous arrivez enfin devant ta petite maison où le moulin ne tourne plus avec la rivière gelé, cela ne va pas du tout aider pour garder une bonne chaleur dans l’atelier, un système assez compliqué pour garder les fioles à bonne température, soupirant, tu ranger tout ce que tu as acheté puis remet Diamant dans l’arrière boutique, soit dans ta maison, mettant tout pour la nourriture, tu ouvre la porte de l’étable pour arriver dans ta cuisine, bien que tu ressors rapidement pour aller voir sous des draps tendu des plantes protéger avec plein de bulle en verre  avec des bougies pour tenir les plantes au chaud.

C’est alors que tu vis une boule de poil qui ne va pas du tout avec le reste, clignant des yeux, tu approches ta main doucement pour la toucher, elle commence à bouger. Ce qui ne te rassure pas du tout, c’est que cela à manger tes plantes, bien qu’elles semblent ne pas avoir souffert de cet habitant en trop. Soulevant la petite boule de poil, vu sa bouille c’était bien un panda roux, assez jeune, il a dû perdre sa mère sur le chemin avec sa tempête et c’est réfugier à l’abris. Poussant un soupir, tu le tiens par la peau du cou pour rentrer et allumer un feu, non tu n’allais tout de même pas le manger. Le posant sur un coussin, tu reprends ton travail au chaud dans ton salon, jusqu’à entendre un bruit plutôt suspect assez aigus… Te levant en fermant ton livre, tu vois qu’il n’y a plus du tout ta bestiole… Te dirigeant vers la cuisine, tu vois une casserole bouger toute seule et pousser des cri aigus, tapant partout. Soulevant la casserol, il s’enfuit partout retournant complètement ta cuisine et le salon, tu lui cours après pour le choper bien que cet idiot renverse de l’eau qui te touche et finit au sol avec ta nageoire. Posant ta tête dans ta main avec cette mine dépité, tu le vois fouiller partout, il semble qu’il doit avoir faim, rampant pour aller à la panière de fruit, tu te saisis d’une pomme que tu coupes, il arrive doucement pour pour se saisir des morceaux que tu as entre tes doigts. Ce n’est qu’un bébé, mais qu’est-ce qu’il fait le bazar, quand tes jambes sont revenues, tu as du tout rangé. Bien qu’après avoir tout remis correctement, tu l’as retrouvé en boule dans un coin, vu le temps froid tu n’allais pas le mettre dehors.

Et pourtant après, la saison de l’hiver passé, il est toujours dans tes jambes, il ne te quitte plus, il est devenu un habitant de cette maison avec Diamant. Il a même eu droit à un prénom : Pompom, c’est ridicule n’est-ce pas? Mais, elle le trouve tout doux, puis facile à dire. Une petite amitié c’est fait entre elle et ce bébé qui fait plein de bêtises. Cela fait de l’animation, avec ce père qui vient te voir tout le temps pour t’ennuyer, enfin tu sais bien que cela n’est pas méchant, mais tu ne vas pas tarder à ouvrir, plus que quelques travaux.

La clochette sonne enfin de la porte, certaine rougeur apparaissant sur ton visage, bien que le sourire n’est pas là, tu regardes la personne droit dans les yeux, et d’un ton trop polis tu citas :

“Bienvenue que puis-je pour vous?”


A toi maintenant. Qui es-tu?


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Mar 23 Aoû - 22:07
Kekou ! Bienvenue sur le forum. ♥ Comme pour Mysteria, je reste Luke de Tales of ♥

Bon courage pour ta fiche ! Mais avant, je voulais juste indiquer un truc ! Ton avatar, elle ressemble plus à une sirène sombre qu'une sirène de lumière, et donc le groupe plus approprié serait Zhakal. >w< (après rien ne l'empêche d'aller de temps à autre à Alfheim par exemple !)

Voilà voilà, si tu as des questions n'hésite pas. ♥
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Mer 24 Aoû - 11:14
UNE LYRI SAUVAGE APPARAIT - lance la bouffe dessus- out-

Bienvenue sur le forum pitchoune moi-même ♥
J'espère que tu t'amuseras bien ici et good luck pour ta fichette ! >w
Ayumi Crosszeria
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Mer 24 Aoû - 20:52
"Alexander m'a vendu son corps pour que je viennes (j'attends les promesse ♥ "sort")" JE SUIS LA ♥ /out

Bienvenue ici mon Roméo !
Un panda roux en familier, je sens que je vais venir te squatter *^*

Bon courage pour ta fiche ♥
Alexander Rowen
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Lun 5 Sep - 12:58
Des news miss ? o/
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Mer 14 Sep - 0:53
Voilà c'est enfin terminé ♥
Je l'ai fait un peu tard sorry, j'ai eu pas mal de soucis ! (tout comme la fiche je la fais que la nuit XD)
Merci pour les bienvenus ~
Madeline Shimy
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Mer 14 Sep - 21:58
Je passe sur ta fiche demain miss ! o/
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Ven 16 Sep - 14:12
Je passe ! Désolé pour ce p'tit jour de retard, quand ma connexion a décidé de prendre son indépendance... ='D

Donc je n'ai rien à dire sur le caractère et le physique, voilà une demoiselle intéressante ! Pour l'histoire, que j'ai beaucoup aimé par ailleurs vu que c'est original et vraiment sympathique à lire, je vais juste te demander de rajouter des couleurs pour les quelques dialogues ! Une fois ça fait, je pourrais te valider. ^^
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Sam 17 Sep - 12:15
C'est fait ♥

Merchi des compliments ~
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Dim 18 Sep - 12:31
Parfait, je te valide de ce pas. ♥

Monochrome World - Madeline Shimy 1469046688-neal

Have fun. ♥
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